
Le plan est une partie fondamentale quel que soit le mémoire mais qui plus est, en droit. Le plan de mémoire n’a pas de règles prédéfinies. Sur un mémoire en droit il n’y a pas de structuration-type. Il s’agit principalement d’une démonstration.
Le plan doit refléter la réflexion du chercheur. Il doit être simple : deux ou trois parties avec des sous-titres qui doivent être équilibrés. L’on doit voir apparaître dès la présentation de plan, un équilibre entre les parties et les sous parties, avec le même nombre de parties, de sous parties au sein de chacune des parties, et on va pas au-delà de trois parties sur un plan de mémoire en droit. C’est vraiment le maximum de deux ou trois parties, qui est vraiment fondamental sur un plan de mémoire en droit. C’est valable pour tout plan mais qui plus est pour un plan de mémoire.
En résumé, il n’y a pas véritablement de structuration de type mais plutôt de l’articulation, un fil conducteur. Cette cohérence entre les différentes parties et les sous-parties doit avoir cette articulation logique entre elles. Il faut qu’on puisse véritablement voir ce fil conducteur ressortir du plan détaillé, ce qui permet vraiment de partir du plus général au plus concret et de voir apparaître la démonstration que l’on souhaite mettre en avant dans la rédaction du mémoire.
Nous espérons que ces quelques conseils vont vous aider à identifier vraiment les points les plus importants lorsque vous serez amené à rédiger votre plan de mémoire en droit. Bon courage pour la rédaction de votre mémoire.