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Table des matière
2. Cheminement du choix de la situation, au choix de la question de départ 3
1. La transition des soins curatifs aux soins palliatifs 4
1.1. Définition et distinction entre soins curatifs et soins palliatifs 4
1.2. Critères médicaux et cliniques déterminant cette transition 5
1.3. Enjeux professionnels et éthiques pour les soignants et les patients 5
2. Le rôle infirmier dans l’accompagnement du patient et de ses proches 5
2.1. Missions et responsabilités de l’infirmier en soins palliatifs 5
2.2. Place de la relation soignant-soigné et de l’écoute active 6
2.3. Accompagnement des proches face à la fin de vie 6
3. Les enjeux émotionnels et professionnels pour les infirmiers 6
3.1. Impact psychologique de la transition curatif-palliatif sur les soignants 6
3.2. Confrontation à la souffrance et au sentiment d’impuissance 6
4. Stratégies de gestion et cadre institutionnel 7
4.1. Mécanismes de résilience et gestion émotionnelle des infirmiers 7
4.3. Cadre législatif et recommandations officielles en matière de soins palliatifs 7
INTRODUCTION
Dans le cadre de l’UE 3.4 de ma formation en soins infirmiers, cette note de recherche constitue un travail de réflexion approfondie sur un sujet qui m’a particulièrement interpellée lors de ma pratique en stage. Elle vise à explorer un aspect essentiel du rôle infirmier et à structurer une démarche de questionnement en lien avec l’accompagnement des patients en fin de vie.
À partir d’une situation vécue en stage, j’analyserai le cheminement de ma réflexion qui m’a conduite à formuler une question de départ en lien avec la transition des soins curatifs vers les soins palliatifs. Afin de répondre à cette question, je mobiliserai un cadre de référence fondé sur des concepts clés et des sources théoriques issues des champs disciplinaires pertinents.
Dans un second temps, j’exposerai la méthodologie envisagée pour une exploration de terrain, en expliquant les choix opérés quant à la population étudiée et les outils retenus pour la collecte de données. Enfin, je conclurai cette note de recherche en synthétisant les axes de réflexion développés.
I. LE SUJET
1. La situation d’appel
Étudiante en soins infirmiers en 2ème année en semestre 4, je suis actuellement dans la 3ème semaine de mon stage au sein d’un hôpital public de l’ouest parisien, en service de pneumologie-oncologie. Ce service accueille 24 patients répartis sur deux secteurs, pris en charge par deux infirmières et trois aides-soignants.
Ma situation se déroule lors du tour de surveillance de 12h. L’infirmière en charge du deuxième secteur vient nous voir, visiblement émue, et nous informe qu’elle a appris l’arrivé de Monsieur B dans son secteur. Elle nous confie ne pas se sentir capable de s’occuper de ce patient et nous demande de prendre le relais pour cette prise en charge. Ma tutrice accepte sa demande, et l’infirmière, soulagée, la remercie avant de repartir.
Suite à cela, ma tutrice m’explique que Monsieur B est un patient de 39 ans suivi dans le service depuis 1 an pour un cancer pulmonaire droit à petites cellules. Il a été récemment transféré en unité de soins intensifs après un passage aux urgences. Il est réadmis aujourd’hui dans notre service pour recevoir l’annonce de la rechute de sa maladie, en présence de sa famille.
À 14h, Monsieur B arrive dans le service. Il est perfusé au bras gauche avec un garde veine et sous masque O2 à 10 L/min. L’atmosphère se fait lourde, et je perçois de la tristesse et de l’appréhension sur les visages du personnel. Faisant preuve de bonne figure, ma tutrice et moi entrons dans la chambre pour le saluer et l’informer que nous allons venir le piquer sur son PAC. Pendant que je vérifie si la perfusion est fonctionnelle, le médecin, déjà présent avec la famille du patient, commence alors son annonce. Il explique que la maladie progresse rapidement et que l’état de Monsieur B va se dégrader dans les jours ou semaines à venir.
Le patient exprime le souhait de rester dans le service, où il connaît le personnel, plutôt que d’être transféré en unité de soins palliatifs. L’émotion est palpable dans la chambre, et la famille et le patient sont émus.
Après avoir quitté la chambre et en arrivant au poste de soins, je suis submergée par l’émotion et commence à pleurer. Ma tutrice, souhaitant me réconforter, me soutient tandis que l’infirmière du deuxième secteur, en nous voyant, se joint à moi en larmes, se sent coupable de nous avoir fait vivre cette situation. Ma tutrice la rassure, en lui expliquant qu’il est normal de passer le relais lorsque l’on se sent dépassé. Les deux infirmières prennent ensuite un moment pour échanger avec moi. Je leur confie, bien que je savais qu’une annonce allait être faite, je ne m’attendais pas à être émue et ressentir aussi une grande tristesse face à la souffrance du patient et de sa famille, en me sentant impuissante.
En sortant de la chambre, le médecin nous rejoint dans le poste de soin et décide d’appeler la cadre pour organiser l’intervention de l’équipe mobile de soins palliatifs, tant pour le patient que pour l’équipe soignante.
2. Cheminement du choix de la situation, au choix de la question de départ
La situation vécue en stage, décrite précédemment, a été un véritable déclencheur de réflexion sur « L’accompagnement infirmier des patients en fin de vie ». L’annonce d’une rechute et la transition vers les soins palliatifs ont mis en lumière la complexité du rôle infirmier dans ce contexte. Plus qu’un simple changement de protocole médical, ce passage des soins curatifs aux soins palliatifs représente une étape délicate, où l’infirmier doit jongler entre soutien émotionnel, adaptation clinique et gestion de ses propres ressentis.
D’une part, j’ai constaté que les infirmiers jouent un rôle central dans cette transition, bien au-delà des soins techniques. Dans la situation que j’ai vécue, j’ai vu à quel point leur soutien était essentiel, tant pour le patient que pour sa famille. Ce dernier souhaitait rester dans le service où il se sentait en confiance, ce qui montre l’importance du lien tissé avec l’équipe soignante. Cette proximité place l’infirmier dans une position privilégiée, mais aussi dans une situation émotionnellement éprouvante : comment maintenir une relation d’accompagnement sans être soi-même affecté par la souffrance du patient ?
D’autre part, cette expérience m’a fait prendre conscience de la souffrance morale que peut ressentir l’infirmier face à une telle situation. Après l’annonce de la rechute, j’ai été submergée par l’émotion, tout comme mes collègues. L’infirmière qui devait initialement prendre en charge ce patient a préféré passer le relais, se sentant incapable de gérer cette prise en charge. Cet événement m’a interpellée : qu’est-ce qui rend cette transition si difficile pour les soignants ? Comment trouvent-ils un équilibre entre engagement émotionnel et posture professionnelle ?
Ce questionnement s’est renforcé lorsque j’ai compris que cette réalité était peu abordée dans la formation des infirmiers. Or, en oncologie, la relation entre le soignant et le patient s’inscrit souvent dans la durée. Accompagner une personne dans ses derniers jours, c’est parfois être témoin de son déclin progressif, de la détresse de sa famille et, finalement, de son départ. Cette proximité émotionnelle peut générer un sentiment d’impuissance chez l’infirmier, qui doit pourtant continuer à assurer une qualité de soins irréprochable.
Face à ces constats, j’ai voulu explorer comment les infirmiers vivent cette transition et quelles stratégies ils adoptent pour préserver leur équilibre émotionnel tout en maintenant une prise en charge adaptée. Cela m’a conduite à formuler la question suivante :
Comment un infirmier en cancérologie accompagne-t-il un patient lors de la transition des soins curatifs aux soins palliatifs, tout en gérant ses propres émotions ?
À travers cette recherche, nous chercherons à comprendre comment les infirmiers perçoivent cette transition, quels mécanismes d’adaptation ils mobilisent, et comment ils parviennent à préserver une posture professionnelle sans être submergés par la charge émotionnelle de leur mission.
II. CADRE DE REFERENCE
1. La transition des soins curatifs aux soins palliatifs
Cette section explore la nature des soins curatifs et palliatifs, les critères médicaux définissant cette transition, ainsi que ses implications professionnelles et éthiques.
1.1. Définition et distinction entre soins curatifs et soins palliatifs
- Fondation ARC (2021), “Les soins palliatifs en cancérologie”
Ce document apporte une définition claire et contextualisée des soins palliatifs et curatifs, expliquant leur complémentarité et l’importance d’une transition progressive pour limiter l’impact émotionnel sur le patient et sa famille.
- Bohoussou Konan, M. (2022). “Cours de soins palliatifs”
Ce manuel de formation infirmière, destinés aux étudiants de la 3ème année, est essentiel pour comprendre les bases théoriques de la transition curatif-palliatif et son intégration progressive dans la prise en charge.
1.2. Critères médicaux et cliniques déterminant cette transition
- Haute Autorité de Santé (2016), “Démarche palliative”
Cette source officielle définit les critères médicaux précis permettant d’identifier un patient nécessitant une prise en charge palliative, en structurant les recommandations pour les soignants.
1.3. Enjeux professionnels et éthiques pour les soignants et les patients
- Perritaz, A. (2011), “Transition des soins curatifs aux soins palliatifs”
Cet ouvrage met en évidence les tensions éthiques et organisationnelles liées à cette transition, notamment le manque de formation des soignants et les barrières institutionnelles qui retardent souvent l’intégration des soins palliatifs.
- Legrand & Mino (2016), “Les cadres de la décision de sédation en fin de vie au domicile”
Cette étude est particulièrement utile pour analyser les enjeux légaux et éthiques de la sédation profonde continue, une pratique qui marque la fin des soins curatifs.
2. Le rôle infirmier dans l’accompagnement du patient et de ses proches
Cette section met en lumière les responsabilités spécifiques des infirmiers en soins palliatifs et l’importance du lien soignant-soigné.
2.1. Missions et responsabilités de l’infirmier en soins palliatifs
- Barny, Y. & El Ayoub, A. (2021),”Accompagnement Infirmier d’un patient en fin de vie”
Cette étude met en évidence les lacunes de formation en soins palliatifs chez les infirmiers, impactant directement la qualité de la prise en charge et le bien-être du patient.
- Démarche de soins : Méthodes d’interventions infirmières (2022)
Ce manuel universitaire (1ère année licence nationale en sciences infirmières) fournit un cadre structuré sur les missions infirmières en fin de vie, permettant d’expliquer comment assurer une prise en charge adaptée.
2.2. Place de la relation soignant-soigné et de l’écoute active
- Phaneuf, M. (2016), “L’alliance thérapeutique comme instrument de soins”
Cet ouvrage est essentiel pour comprendre l’importance de la relation de confiance entre l’infirmier et le patient, notamment à travers l’écoute active et l’accompagnement bienveillant.
- Forster, Cuddy & Colombo (2004), “Hypnose en soins palliatifs”
Cet article illustre une approche complémentaire aux soins infirmiers traditionnels, l’hypnose comme outil de gestion de la douleur et du stress chez les patients en fin de vie.
2.3. Accompagnement des proches face à la fin de vie
- Rajery, H. (2020), “L’accompagnement des familles en soins palliatifs”
Ce texte met en lumière l’impact du décès sur les proches et la nécessité pour les soignants d’assurer un accompagnement structuré pour éviter des deuils compliqués.
3. Les enjeux émotionnels et professionnels pour les infirmiers
L’accompagnement des patients en fin de vie expose les infirmiers à une forte charge émotionnelle et psychologique.
3.1. Impact psychologique de la transition curatif-palliatif sur les soignants
- Rodríguez López, L. (2014), “L’adaptation émotionnelle des infirmiers lors de la prise en soins de patients âgés en fin de vie”
Cet ouvrage analyse l’évolution des compétences émotionnelles des soignants en fonction de leur expérience, un facteur clé pour comprendre la gestion du stress.
3.2. Confrontation à la souffrance et au sentiment d’impuissance
- Moriceau, M. (2002), “La souffrance totale en onco-hématologie”
Cette publication introduit le concept de souffrance totale, qui inclut les dimensions physique, psychologique et sociale, aussi bien chez le patient que chez les soignants.
4. Stratégies de gestion et cadre institutionnel
Cette section aborde les solutions mises en place pour aider les infirmiers à gérer ces défis.
4.1. Mécanismes de résilience et gestion émotionnelle des infirmiers
- Desauw, A. (2014), “Stratégies de régulation émotionnelle des praticiens lors de l’annonce d’une mauvaise nouvelle”
Cette thèse explore les techniques utilisées par les soignants pour minimiser leur impact émotionnel et rester professionnels face à des annonces difficiles.
4.2. Soutien institutionnel (groupes de parole, supervision clinique, accompagnement psychologique)
- Haute Autorité de Santé (2018), “Comment mieux accompagner les patients en fin de vie ?”
Ce document propose des dispositifs de soutien institutionnels pour les soignants, comme les groupes de parole et les supervisions cliniques.
4.3. Cadre législatif et recommandations officielles en matière de soins palliatifs
- République Française (2016), “Loi n° 2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie”
Cette loi définit le cadre légal des soins palliatifs, renforçant les droits des patients et clarifiant les obligations des soignants.
III. EXPLORATION DE TERRAIN
Afin de répondre à ma question de recherche : “Comment un infirmier en cancérologie accompagne-t-il un patient lors de la transition des soins curatifs aux soins palliatifs, tout en gérant ses propres émotions ?”, j’ai choisi d’utiliser la méthode de l’entretien semi-directif.
Cette recherche vise à comprendre le vécu des infirmiers face à cette transition et à identifier les stratégies qu’ils mobilisent pour gérer la charge émotionnelle qu’elle engendre. L’entretien semi-directif permet de recueillir des témoignages détaillés sur leurs expériences, leurs perceptions et leurs pratiques professionnelles. Contrairement à une simple observation, qui ne permettrait d’analyser que des comportements visibles, ou à un questionnaire fermé, qui limiterait la profondeur des réponses, cette approche offre un cadre d’échange structuré tout en laissant une liberté d’expression aux participants. Grâce à cette flexibilité, il est possible d’approfondir des aspects inattendus et de mieux cerner les dilemmes professionnels et personnels que rencontrent les infirmiers dans cette situation.
L’étude portera sur des infirmiers exerçant en service de cancérologie ayant déjà accompagné un patient dans la transition vers les soins palliatifs. Ces professionnels sont sélectionnés car ils ont été directement confrontés aux enjeux cliniques et émotionnels liés à cette transition. Le choix de cette population garantit la pertinence des témoignages recueillis, qui doivent refléter l’impact réel de cette phase sur la pratique infirmière. Les infirmiers exclusivement affectés aux soins palliatifs ne seront pas inclus dans l’étude, car leur expérience ne couvre pas la transition entre curatif et palliatif. De même, les étudiants infirmiers en formation initiale seront exclus, car ils n’ont pas encore été exposés de manière significative à ce type de prise en charge.
Les entretiens seront réalisés en face-à-face ou en visioconférence, selon la disponibilité des participants, afin de leur offrir un espace propice à l’expression de leurs expériences et ressentis. Avec leur consentement, les échanges seront enregistrés afin de permettre une retranscription fidèle et une analyse approfondie des propos recueillis. Cette démarche vise à identifier des tendances communes et des spécificités dans la manière dont les infirmiers vivent et gèrent cette transition.
L’entretien semi-directif constitue le choix méthodologique le plus pertinent pour cette recherche, car il permet d’explorer en profondeur la dimension subjective et émotionnelle des infirmiers. Cet outil facilite la collecte de témoignages qui apportent un éclairage essentiel sur l’impact de cette transition, les stratégies adoptées pour préserver un équilibre émotionnel et les difficultés rencontrées dans l’accompagnement du patient et de sa famille. En accédant directement aux représentations et ressentis des soignants, il devient possible d’analyser les enjeux réels de cette prise en charge et d’envisager des pistes pour améliorer l’accompagnement infirmier dans ce contexte complexe.
IV. CONCLUSION
Cette recherche vise à explorer l’accompagnement infirmier lors de la transition des soins curatifs aux soins palliatifs en cancérologie, en mettant en lumière les défis émotionnels et professionnels qu’implique cette phase délicate. À travers l’analyse d’un cadre de référence structuré et le recueil de témoignages d’infirmiers expérimentés, elle ambitionne d’identifier les stratégies mises en place pour gérer la charge émotionnelle tout en assurant une prise en charge adaptée des patients et de leurs proches.
L’exploration de terrain menée à l’aide d’entretiens semi-directifs permettra de recueillir des données riches et nuancées sur les expériences des soignants face à cette transition. Cette approche qualitative favorisera une compréhension approfondie des ressentis des infirmiers, des difficultés auxquelles ils sont confrontés et des ressources qu’ils mobilisent pour maintenir un équilibre entre implication émotionnelle et posture professionnelle.
Les résultats attendus devraient contribuer à une meilleure connaissance des enjeux liés à cette transition, tant sur le plan clinique que sur le plan humain. Ils pourront également nourrir une réflexion sur les dispositifs d’accompagnement et de soutien à proposer aux infirmiers confrontés à cette situation, notamment en termes de formation, d’encadrement institutionnel et de prise en charge psychologique.
Ainsi, cette étude ambitionne non seulement d’apporter un éclairage sur une problématique peu abordée dans la formation infirmière, mais également d’ouvrir des pistes d’amélioration pour mieux préparer et soutenir les soignants dans l’accompagnement des patients en fin de vie.
BIBLIOGRAPHIE FINALE
Barny, Y., & El Ayoub, A. (2021). Accompagnement Infirmier d’un patient en fin de vie à l’Hôpital Cheikh Khalifa Ibn Zayed – Casablanca. Université Mohamed VI des Sciences de la Santé.
Bohoussou Konan, M. (2022). Cours de soins palliatifs – destinés aux étudiants de la 3ème année.
Desauw, A. (2014). Stratégies de régulation émotionnelle des praticiens lors de l’annonce d’une mauvaise nouvelle en cancérologie (Thèse de doctorat). Université Charles de Gaulle – Lille III.
Fondation ARC pour la recherche sur le cancer. (2021). LES SOINS PALLIATIFS EN CANCÉROLOGIE. In COLLECTION COMPRENDRE ET AGIR.
Forster, A., Cuddy, N., & Colombo, S. (2004). Hypnose en soins palliatifs. InfoKara, 19(4), 143-148. https://doi.org/10.3917/inka.044.0143
Haute Autorité de Santé (HAS). (2016). Démarche palliative.
Haute Autorité de Santé (HAS). (2018). Comment mieux accompagner les patients en fin de vie ?
Legrand, E., & Mino, J.-C. (2016). Les cadres de la décision de sédation en fin de vie au domicile : le point de vue des médecins de soins palliatifs. Anthropologie & Santé, 12. https://doi.org/10.4000/anthropologiesante.2072
Moriceau, M. (2002). La souffrance totale en onco-hématologie. InfoKara, 103(17).
Perritaz, A. (2011). Transition des soins curatifs aux soins palliatifs : Les interventions de soins qui facilitent ce processus pour les patients adultes – Une revue de littérature étoffée. Haute École de Santé de Fribourg.
Phaneuf, M. (2016). L’alliance thérapeutique comme instrument de soins.
Rajery, H. (2020). L’accompagnement des familles en soins palliatifs : comment ça se passe ? Portail d’informations sur la fin de vie et le traitement de la douleur – soins palliatifs.
République Française. (2016). Loi n° 2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie. Journal Officiel de la République Française.
Rodríguez López, L. (2014). L’adaptation émotionnelle des infirmiers lors de la prise en soins de patients âgés en fin de vie : Le rôle de l’expérience professionnelle. Haute École de Santé – Genève.
Université en Sciences Infirmières. (2022). Démarche de soins. Méthodes d’interventions infirmières. Année universitaire 2022-2023, 1ère année Licence Nationale en Sciences Infirmières.