3 Techniques qui feront la différence le jour de votre soutenance
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Jour J de votre soutenance, vous avez peut-être eu du mal à dormir de la veille, vous avez les paumes moites, la voix qui tremble et un trac croissant. Pas de panique, nous vous partageons trois techniques qui feront la différence le jour de votre soutenance :

1. Anticiper afin de mieux gérer le stress

Malgré un grand degré de préparation et même en étant à l’aise avec la prise de parole en public, le trac est malheureusement incontournable. Au lieu de vous paralyser, utiliser vos émotions à bon escient peut toutefois vous permettre de dépasser vos limites. Pour cela, aucune formule magique, il va falloir se préparer en amont.

Vous pourrez commencer par vous filmer, vous enregistrer ou vous chronométrer. Mais n’attendez pas la dernière minute pour sortir de votre bulle et recevoir des retours et critiques de vos proches, amis, collègues ou de votre encadreur. Répéter en conditions réelles devant un public est bien plus efficace une à deux semaines avant la soutenance. Cela laisse en effet le temps d’améliorer vos supports de présentations, de travailler sur vos tics de langage, de mieux organiser votre temps voire d’améliorer le contenu de votre travail. Se donner suffisamment de temps peut même aider à prévoir les questions récurrentes qui pourraient être posées par le jury. Sachez en effet anticiper ces questions et critiques en notant les réponses correspondantes.

C’est en étant préparé académiquement, mentalement et physiquement que vous vous rendrez à votre soutenance.

2. Présenter de manière vivante avec authenticité

Nous y voilà, place à la présentation !

Rien de tel qu’une soutenance monotone sur un ton monocorde et une position statique pour donner une mauvaise impression au jury et au reste de l’audience.

Concrètement, pour donner un sentiment de contrôle et de maitrise, il va falloir dès le départ montrer de l’enthousiasme. Dans cet exercice de communication orale, souriez à vos interlocuteurs, cela ne pourra que jouer en votre faveur. Prenez également un ton dynamique en usant d’un rythme de paroles varié pour éviter d’être monotone. La plus grande erreur serait de se contenter de lire vos fiches et/ou slides. C’est le moment de captiver à travers vos mots en mettant en avant votre esprit d’analyse et de synthèse.

Le langage du corps est tout aussi important. Il peut même parfois être plus expressif que des mots, c’est pourquoi maitriser sa gestuelle est indispensable. De plus, occuper l’espace et respirer calmement sont aussi des manières efficaces d’évacuer le stress.

3. Etre disposé aux échanges

Après une conclusion brève qui aura répondu à la problématique, il s’agira maintenant d’adresser ces questions avec confiance, en étant ouvert aux critiques. Vous devez vous attendre à être éventuellement tourmenté mais il faudra tout de même éviter de se mettre sur la défensive ou de laisser paraître votre embarras.

Commencez par écouter la question dans son intégralité, peu importe le temps que prennent les membres du jury (prenez des notes si nécessaire.). Faites une pause et réfléchissez à la question avant de répondre. Il ne faut pas avoir peur des silences car c’est avant tout sur la qualité de vos réponses que vous serez évalué. Reformulez alors la question distinctement. Répondez ensuite à la question au mieux de vos capacités. Si vous ne connaissez pas la réponse, restez calme et dites-le de manière professionnelle. Vous restez dans un milieu académique alors restez avant tout réceptif aux échanges et faites preuve d’humilité.

Vous avez désormais toutes les clefs en main pour réussir à l’oral, n’oubliez pas pour autant d’assurer dans votre contenu. Bonne chance !

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