Une étude quantitative ou qualitative est-elle préférable pour la partie empirique de votre mémoire?

Dans la partie empirique d’un mémoire de recherche, il est primordial d’avoir un choix de méthodologie bien clair et d’être capable de l’expliquer car cette partie a pour principal objectif de confirmer ou d’infirmer les constats issus de l’étude théorique.

La partie empirique représente votre véritable valeur ajoutée suite à vos observations obtenues sur le terrain, il est donc fondamental de faire un choix éclairé en retenant la méthodologie la plus adaptée à votre configuration.

Afin d’apporter une réponse optimale à la question posée, nous prendrons donc le temps d’évoquer séparément les deux types de méthodologies qui sont proposées, à savoir, l’étude qualitative et l’étude quantitative.

L’étude qualitative

L’étude qualitative se base sur une description détaillée du sujet, partant de caractéristiques et d’éléments verbaux pour en réaliser une analyse, une interprétation ou un diagnostic.

En un mot, l’étude qualitative adopte une approche inductive du sujet.

Il faut noter la part de subjectivité dans cette approche car l’instrument principal de collecte  des informations est le chercheur lui-même.

De cette approche, on obtient des hypothèses ou des tendances générales.

Exemple : pour « l’étude d’impact des encadrements d’une ONG auprès des producteurs ».

Le chercheur prendra comme référence la description détaillée de la mission de l’ONG. Puis, en se rapprochant des bénéficiaires et partenaires de l’intervention, il s’efforcera à travers des entretiens individuels et un atelier de consultation, d’évaluer le niveau d’adoption des bonnes pratiques agricoles par les producteurs. Le chercheur relatera ses impressions dans un tableau évoquant la proportion de bénéficiaires ayant (i) bien adopté, (ii) moyennement adopté ou (iii) peu ou pas adopté les techniques pour en faire une interprétation et conclure si l’impact des interventions est positif, mitigé, négatif ou nul.

Pourquoi utiliser la recherche qualitative ?

La recherche qualitative explore les questions et les sujets du point de vue des personnes concernées. Les méthodes qualitatives explorent la façon dont les gens pensent et ressentent un sujet ou une question dans leurs propres mots, par le biais de l’observation, d’entretiens approfondis et de groupes de discussion. Elles sont utiles lorsque vous souhaitez comprendre les attitudes, les sentiments, les perceptions et les motivations des gens par rapport à un sujet ou une question spécifique. Les méthodes qualitatives peuvent vous aider à explorer les questions de manière plus approfondie et plus créative, vous permettant ainsi de mieux connaître votre public cible. Les méthodes qualitatives sont particulièrement utiles lorsque : Vous souhaitez explorer la question ou le sujet de manière plus détaillée, notamment les raisons qui sous-tendent les choix, les comportements ou les attitudes des gens. Vous voulez en savoir plus sur les opinions, les attitudes et les sentiments de votre public cible. Vous voulez en savoir plus sur la façon dont les gens répondent actuellement à leurs besoins ou résolvent leurs problèmes. Vous voulez comprendre quels sujets ou idées sont importants pour votre public cible.

Exemple de guide d’entretien relatif à une méthodologie qualitative 

Guide d’entretien

Informations personnelles et/ou professionnelles

Assurer l’anonymat (ne citer aucun nom de personne, de lieu, etc. susceptible de permettre l’identification de l’interviewé).

Pour les personnes âgées et les aidants uniquement :

  • Tranche d’âge de la personne âgée concernée : [65-75[ ; [75-85[ ; 85 et plus.
  • Quelle préférence : à domicile ou en institution ? (Si « institution », laquelle ?)
  • Accompagnement par un aidant ? (Spécifier la relation existante entre la personne âgée concernée et son aidant).
  • Tranche d’âge de l’aidant interviewé : moins de 25 ; [25-35[ ; [35-45[ ; [45-55[ ; 55 et plus.

Pour les professionnels de santé uniquement :

  • Profession :
  • Nombre d’années d’expérience dans cette profession :
  • Nombre d’années d’expérience auprès des personnes âgées :

Utilisation des technologies digitales

  • A quelle fréquence utilisez-vous internet ? (Tous les jours, moins de trois fois par semaine, moins de trois fois par mois, jamais)
  • A quelle fréquence utilisez-vous les réseaux sociaux (citez-en les trois plus fréquemment utilisés) ? (Tous les jours, moins de trois fois par semaine, moins de trois fois par mois, jamais)
  • Cherchez-vous des informations à caractère sanitaire sur internet ? (Tous les jours, moins de trois fois par semaine, moins de trois fois par mois, jamais)
  • Echangez-vous des informations à caractère sanitaire sur les réseaux sociaux ? (Tous les jours, moins de trois fois par semaine, moins de trois fois par mois, jamais)
  • A quelle fréquence utilisez-vous des applications mobiles outre les services classiques de téléphonie et messagerie SMS ? (Tous les jours, moins de trois fois par semaine, moins de trois fois par mois, jamais)
  • Disposez-vous d’un smartphone ? Tablette ? Autres appareils mobiles (à spécifier) ?
  • Connaissez-vous des applications mobiles à caractère sanitaire ? Citez-en 5 que vous jugez les plus populaires ?
  • Avez-vous déjà utilisé des applications mobiles à caractère sanitaire ? Citez-en 5 que vous utilisez les plus ?
  • Avez-vous déjà partagé à quelqu’un d’autre des applications mobiles à caractère sanitaire ? Citez-en 5 que vous avez les plus partagés ?

Organisation de la prise en charge

  • Que pensez-vous de l’organisation actuelle de la prise en charge sanitaire des personnes âgées dépendantes, en France ?
  • Quels en sont les points perfectibles majeurs, d’après vous ?
  • Quelle perspective future prévoyez-vous, et pour quelle(s) amélioration(s) ?
  • Selon vous, personnellement, que devrait-on faire pour améliorer l’organisation de la prise en charge sanitaire des personnes âgées dépendantes, en France ?
  • D’après vous, est-ce que les technologies digitales peuvent contribuer significativement à cette amélioration ? Quels avantages ? Et quelles limites des technologies digitales ?
Organisation de la prise en charge

L’application digitale de détection-prévention X pour soutenir la prise en charge sanitaire des personnes âgées dépendantes

Présentation très simplifiée et très brève de l’application BCN :

Nous souhaitons vous présenter une application digitale X

D’abord, rappelons qu’une application digitale X ou « mobile santé » est un outil faisant office de pratiques médicales et/ou de santé publique que l’on peut installer dans votre téléphone (smartphone), votre tablette, ou tout autre appareil mobile.

L’application dénommée « BCN » est un dispositif de veille médicale pour les personnes âgées dépendantes. Plus précisément, l’application BCN comporte une surveillance continue des paramètres biologiques et métaboliques des patients, une alerte envoyée aux équipes soignantes en cas de dégradation de l’état de santé du patient indiqué par ces paramètres, et une coordination du soin prodigué aux patients.

  • D’après vous, quel pourrait être l’impact de l’utilisation de cette application X de détection-prévention sur la qualité de la prise en charge sanitaire des personnes âgées dépendantes ?
  • Selon vous, quels pourraient être les impacts de l’utilisation d’une telle application (auprès des personnes âgées dépendantes) sur le plan financier ? Au niveau des ressources humaines ? Sur le plan matériel et logistique ?
  • Selon vous, quelles pourraient être les incidences possibles de l’utilisation de cette application sur les coûts à prendre en charge par ces personnes âgées (et leurs proches) ?

Conditions de mise en œuvre d’une application X de détection-prévention ?

  • D’après vous, que faudrait-on s’attendre en premier lieu pour être motiver à utiliser cette application ? (Citez-en quelques éléments que vous jugez primordiaux).
  • A votre avis, quelles devraient être les caractéristiques de cette application en termes d’ergonomie ?
  • Selon vous, à quel prix (d’acquisition et de fonctionnement) cette application devrait être mis sur le marché ?
  • D’après vous, quels pourraient être la place et le rôle à tenir par les professionnels de santé dans la mise en œuvre de cette application ?
  • Pour vous, quels sont les impératifs en matière de qualité pour cette application ?

Deuxième exemple de guide d’entretien portant sur une question de recherche orientée Marketing 

Guide d’entretien

Informations personnelles de l’interviewé

  • Identité (nom) si possible (garder l’anonymat si l’interviewé l’exige)
  • Tranche d’âge (entre [moins de 25 ans [ ; [25 à 44 ans] ; [45 ans et plus [)
  • Profession
  • Nombre d’années d’activité dans le mouvement féministe
  • Responsabilité et rôle de l’interviewé dans le mouvement féministe

Informations concernant le mouvement féministe en question

  • Dénomination du mouvement :
  • Description des activités en ligne du mouvement :
  • Depuis quand cette présence en ligne :
  • Objectifs associés à la présence en ligne :

La quatrième vague de féminisme

  • L’on parle souvent de quatrième vague de féminisme. Si l’on peut parler de « vague », comment décriviez-vous la vague de féminisme actuelle ?
  • Qu’est-ce qu’il y a de véritablement nouveau dans cette vague actuelle de féminisme ?
  • Quelles incidences d’Internet, des réseaux sociaux, des technologies numériques sur le féminisme actuel ?

Le femvertising ou le marketing féministe

De nombreuses entreprises ont actuellement recours au femvertising, c’est-à-dire le marketing féministe qui consiste généralement à recourir au marketing pour véhiculer des principes ou messages féministes.

  • Est-ce que cette approche vous parait-elle légitimé ? (Expliquez). Reformulation de la question : dans quel(s) cas le recours au marketing pour véhiculer des principes ou messages féministes est-il légitime ? (Donnez un ou des exemples récents).
  • Est-ce que les actions des mouvements féministes actuels sont plus efficaces qu’auparavant pour promouvoir le marketing féministe « légitime » ? (Expliquez).
  • Est-ce que l’usage actif d’internet et des réseaux sociaux en particulier améliore la sélection et l’efficacité du marketing féministe « légitime » auprès du public ? (Expliquez)

Le feminism washing

On parle souvent de feminism washing pour désigner le recours au marketing féministe par des entreprises qui, en réalité, ne soutiennent pas vraiment les causes féministes, mais juste pour redorer leur propre image. En d’autres mots, le feminism washing est un usage opportuniste du marketing féministe.

  • Dans quel(s) cas peut-on parler de dérives dans le recours au marketing par les entreprises pour soutenir des causes féministes ? (Expliquez en illustrant par un ou des exemples très récents).
  • Est-ce que les actions des mouvements féministes actuels sont plus efficaces qu’auparavant pour identifier et affaiblir le feminism washing ? (Expliquez).
  • Est-ce que l’usage actif d’internet et des réseaux sociaux en particulier améliore l’identification et l’affaiblissement du feminism washing ? (Expliquez).

L’étude quantitative

L’étude quantitative quant à elle, se base sur des données chiffrées et le travail d’analyse s’en trouve beaucoup plus délimité.

Il s’agît donc d’une approche déductive qui part de la classification de caractéristiques, de l’analyse de données statistiques ou de figures, pour obtenir la réponse à la problématique posée.

Cette méthodologie ne laisse aucune place à la subjectivité en apportant des réponses par évidence numérique.

Cette étude inclue souvent le recours à  un groupe témoin, permettant de confirmer ou d’infirmer l’(es) hypothèse(s) et donc de donner un résultat définitif et impartial.

Exemple : pour le même travail sur « l’étude d’impact des encadrements d’une ONG auprès des producteurs ».

Avec l’approche quantitative, le chercheur utilisera des tableaux statistiques portant sur une série d’indicateurs comme « l’évolution du rendement d’une année à l’autre », « l’évolution de la production totale », « le nombre de producteurs ayant décidé de recourir à des fertilisants pour le sol ». La comparaison de ces chiffres avec ceux de producteurs n’ayant pas bénéficié de l’intervention lui permettra de déduire si l’intervention a eu un impact positif, mitigé, négatif ou nul.

En somme, le choix de la méthodologie dépendra avant tout du domaine ou du sujet de recherche et des résultats attendus. Quoi qu’il en soit, une étude pour être complète et irréfutable pourrait recourir aux deux approches à la fois avec en première partie une étude qualitative et en deuxième, une étude quantitative.

En effet, dans l’exemple choisis qui relève d’un domaine plutôt scientifique, nous pouvons constater que pris séparément, chacune des deux approches peut sembler adaptée. Cependant, on obtient un meilleur niveau de précision et moins d’opportunité de discussions avec l’approche quantitative.

D’autre part, cet exemple démontre surtout l’intérêt que représente pour le chercheur de combiner les deux méthodes. L’étude commencera par l’approche qualitative qui permettra de définir la tendance générale des impacts selon le point de vue des bénéficiaires et des partenaires, puis la conduite d’une étude quantitative permettrait de renforcer les conclusions en apportant une démonstration « par évidence numérique ».

Lors de la conception d’un projet de recherche, il est important de comprendre quel type d’étude est le plus approprié à vos besoins. Les méthodes de recherche qualitative et quantitative présentent toutes deux des avantages et des difficultés qui leur sont propres, mais l’une d’entre elles peut être plus adaptée que l’autre dans certaines circonstances. La recherche qualitative et la recherche quantitative sont deux grandes catégories de méthodes de recherche. La recherche qualitative est principalement utilisée pour répondre à des questions sur le pourquoi ou le comment d’un événement. Elle peut révéler des aspects intéressants du comportement humain, des croyances, des motivations ou des pensées en réponse à une situation ou une condition spécifique. D’autre part, la recherche quantitative est principalement utilisée pour répondre à des questions sur la quantité ou le nombre de personnes qui ressentent ou pensent quelque chose (par exemple, quel pourcentage de personnes est d’accord avec cette affirmation ?) Elle peut révéler des informations intéressantes sur des faits numériques concernant le comportement humain, les croyances, les motivations ou les pensées en réponse à une situation ou une condition spécifique. Nous allons passer en revue ici quelques conseils pour savoir quand utiliser des méthodes qualitatives et quand utiliser des méthodes quantitatives dans le cadre de votre stratégie d’étude de marché.

Pourquoi utiliser la recherche quantitative ?

La recherche quantitative explore les questions et les sujets du point de vue du chercheur. Les méthodes quantitatives reposent sur des chiffres, des statistiques et des résultats mesurables. La recherche quantitative est utilisée pour étudier comment de grands groupes de personnes pensent ou ressentent un sujet ou une question. Les méthodes quantitatives peuvent vous aider à vous faire une idée générale du nombre de personnes qui ressentent une certaine chose ou qui sont intéressées par un sujet spécifique. Les méthodes quantitatives sont particulièrement utiles lorsque : Vous recherchez des faits, des chiffres et des statistiques liés à une question spécifique. Vous voulez obtenir des résultats qui peuvent être facilement mesurés, analysés et rapportés. Vous voulez comprendre comment de grands groupes de personnes se sentent ou pensent à propos d’un sujet, d’une question ou d’un problème spécifique. Vous voulez trouver des informations générales sur votre public cible.

Exemple de questionnaire :

Administration du questionnaire de contrôle interne

Appréciation de la séparation des fonctions

L’exécution des tâches suivantes est-elle effectuée par des personnes séparées ?OuiNon
Approbation des dispositions incluses dans le plan de maitrise sanitaire Approbation des dispositions incluses dans les bonnes pratiques d’hygiène Budgétisation et exécution du plan de maitrise sanitaire et bonnes pratiques d’hygiène Autorisation des dépenses et décaissement relatifs au plan de la maitrise sanitaire et des bonnes pratiques d’hygiène Comptabilisation des dépenses afférentes    

Appréciation des forces et faiblesses du contrôle interne sur l’hygiène

 FaitÀ faireNon fait
Suivi des délais des agréments sanitaires et d’hygiène accordés au restaurateur Formalisation des fiches de contrôle et de réception des marchandises, matières premières et autres approvisionnements Formalisation de la gestion des équipements de congélation Suivi des maintenances des équipements Contrôle des paramètres de fabrication, cuisson, friture… Mise à jour des données sur les produits d’entretien Établissement d’un plan de désinfection et de nettoyage Opération de dératisation Analyse en laboratoire Suivi de la qualité des eaux Plan de formation des agents Comptabilisation détaillée des dépenses de contrôle d’hygiène Constitution des provisions pour risques Contrôle des engagements d’externalisation des opérations de contrôle d’hygiène   

Procédures liées à la gestion des stocks

Définition des objectifs du contrôle de la gestion des stocks

Le contrôle de la gestion des stocks revient à mettre en lumière l’atteinte des objectifs qui consistent à s’assurer que.

Les stocks sont bien protégés

Les stocks sont bien évalués

Les stocks sont bien comptabilisés

Administration du questionnaire d’analyse du contrôle interne portant sur la gestion des stocks

Appréciation de la séparation des taches

L’exécution des tâches suivantes est-elle effectuée par des personnes séparées ?OuiNon
Prise d’inventaire physique des stocks Suivi des évaluations des stocks en prix, en quantité et en qualité Processus d’entreposage Comptabilisation des stocks Calcul, suivi et ajustement des écarts Politique d’évaluation des stocks Gestion des entrées et sorties de stocks  

Appréciation de la faiblesse et force du contrôle interne de la procédure de gestion de stocks

 FaitÀ faireNon fait
Le stockage se fait dans un endroit convenable, sécurisé et contrôlé L’assurance feu et incendie couvre l’essentiel La consignation est contrôlée séparément L’inventaire physique est programmé périodiquement La comparaison entre inventaire physique et registre des stocks se fait régulièrement Les entrées et sorties sont matérialisées et contrôlées par des bons Les informations sur les registres sont contrôlées conformes aux informations sur les marchandises et produits reçues Les rebuts sont rapportés avant d’être envoyés à la destruction   

Quand utiliser conjointement la recherche qualitative et quantitative ?

Les chercheurs utilisent souvent un mélange de méthodes de recherche qualitatives et quantitatives pour obtenir une compréhension plus large et plus détaillée des questions et des sujets qu’ils étudient. Certains chercheurs peuvent commencer par une approche qualitative, pour les aider à explorer la question ou le sujet de manière plus approfondie et créative, avant de passer à une approche quantitative, pour obtenir des résultats plus généraux. D’autres chercheurs peuvent commencer par une approche quantitative, puis passer à des méthodes qualitatives pour explorer les questions ou les sujets sous un angle différent. Lorsqu’on utilise conjointement des méthodes quantitatives et qualitatives, il est important de comprendre que les résultats d’une approche influenceront les résultats de l’autre. L’approche quantitative peut déterminer les sujets à explorer plus en détail via l’approche qualitative. Par ailleurs, l’approche qualitative peut aider à expliquer les résultats de l’approche quantitative.

Comment savoir quel type d’étude vous convient le mieux ?

Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de mener une exploration sur une question de recherche. La clé est de comprendre les avantages et les défis de chaque approche. Une fois que vous en êtes conscient, vous pouvez choisir l’approche qui convient le mieux à vos besoins. Vous pouvez également envisager de combiner ou de mélanger les deux approches pour obtenir une compréhension plus approfondie des questions ou des sujets que vous étudiez. Une fois que vous aurez compris les avantages et les défis de chaque approche, vous serez en mesure de choisir l’approche la mieux adaptée à vos besoins.

Généralement le chercheur définit d’abord les variables qualitatives à l’aide d’un guide d’entretien, une fois ces variables définit, l’études quantitative permet de mesure, de quantifier ces variables à l’aide d’un questionnaire.

Conclusion

Il est important de se tenir au courant des dernières méthodes de recherche et de la faire valider par votre directeur de mémoire. Cela vous permettra de sélectionner la meilleure approche pour vos besoins, ce qui vous permettra à son tour d’acquérir une compréhension plus détaillée de votre public cible et de ses besoins, attitudes et motivations. Le choix méthodologique pour la partie empirique revêt une importance capitale pour valider la partie empirique de votre mémoire, qui constitue le coeur de votre valeur ajoutée rédactionnelle.

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